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6 mars 2009

Concert à la maison

C'était hier soir au théâtre Fémina, et non pas chez moi (j'aurais bien aimé, pourtant) le concert de Vincent Delerm. Mais avec ce gars là, on a un peu l'impression que nous sommes à peine une dizaine à assister au show car c'est vraiment intimiste !

Les chansons défilent, et tout est bien soigné. On passe vraiment un bon moment à écouter ce monsieur, c'est un plaisir bien réel. Et pourtant  quand les lumières s'éteignent aprés un énième rappel et une salle debout qui en redemande encore je suis un peu déçu, un peu peur que le monsieur ne se soit enfermé dans un rôle de chanteur à bobo. Mais bon, j'ai malgré tout passé une excellente soirée. A quand la diffusion du concert sur Arte ?

delerm

source photo : www.francoscene.com

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Commentaires
B
Samedi 07 Mars 2009 / Sud-Ouest<br /> <br /> POINT DE VUE.<br /> <br /> Promenade en images<br /> <br /> Lors de la précédente tournée, les sketches cassaient l'univers. Autant cette fois, l'installation aux clins d'oeil cinés lui ressemble. Delerm égrène son répertoire, façon album de souvenirs et bouffées de mélancolie, en les rythmant de respirations, apartés et effets visuels : court-métrages noir-blanc (dans lesquels il joue) et vieilles pubs, personnages en carton qu'on anime, décor 70's orange et éclairages choisis, dont lampions au rappel. Il puise dans tous ses disques, reprend « L'amour en fuite » en duo virtuel avec Souchon, laisse Fanny Ardant caresser de sa voix et évoque la musique de Tati.<br /> <br /> Accompagné de deux multi-instrumentistes, au vibraphone, second piano, batterie, trompette et boîte à musique au final, il chante au piano ou assis dessus. L'alternance de titres à remonter le temps et de morceaux enlevés donne de la fluidité. La franche dose d'humour emporte le musicien sensé lui donner la réplique... Et malgré le vrai générique qui clôt le spectacle, alors qu'on a l'habitude de voir les gens fuir si tôt la fin sonnée, le public obtient force rappels supplémentaires. C'est que les regards que jette le promeneur Delerm, parlent à ceux qui n'ont pas sa faconde pour croquer la vie.<br /> <br /> Jeudi, au Fémina de Bordeaux.<br /> <br /> Auteur : Patrick Scarzello
C
je confirme ce qu'éprouve Bordo goave... ce fut bien, mais tout de même il est autoréférencé comme il l'annonce si bien lui-même au début du concert... et puis le passage "je me moque de johnny"... fut la facilité qui gacha ce que je voulais encore sauver. Bel esprit de théatralisation, belle scénographie (tout de même un peu brouillonne et surchargée)... manque d'intimité et de simplicité... Beau, efficace mais sans étincelle au final (selon moi).
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